Afrique : Comment sortir de la nasse des prédateurs ?

Le continent africain fait depuis longtemps l’objet de toutes les convoitises et se retrouve ainsi dans la nasse des prédateurs de tous les pays. Comment en sortir ?

L’Afrique en danger

Bill Gates, milliardaire américain, fondateur de Microsoft, que l’on présente comme l’un des plus grands bienfaiteurs de ce monde, fait beaucoup parler de lui depuis quelques temps avec son idée ouvertement affirmée de vouloir vacciner toute la planète. Un homme à qui l’on donnerait le bon Dieu sans confession. Pourtant, il représente un danger pour l’Afrique, au même titre que Balthazar John Vorster, cet ancien premier ministre Sud-Africain, à l’époque de l’Apartheid, qui rêvait « d’une Afrique sans les Africains, une Afrique qui deviendrait alors un paradis terrestre pour l’homme Blanc ». Pour certains observateurs et amoureux de l’Afrique, Bill Gates est comparé à Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron, respectivement ex Président français et actuel locataire de l’Elysée, qui n’ont jamais caché leur agacement devant « ces Africains qui font beaucoup d’enfants ».

Une population africaine qui ne cesse de croitre

Selon une récente étude financée par le milliardaire américain – ce qui n’est pas anodin du tout- la population africaine triplera au cours de ce siècle au moment où la tendance pour le reste du monde sera au déclin. Une perspective qui n’enchante pas forcément nos ‘’amis’’ cités précédemment. On comprend pourquoi tous les « diables habillés en moine », qui pensent comme eux, usent de tous les crimes et de toutes les perversités pour contrer la croissance de la population africaine, qu’ils considèrent comme un danger pour la survie de leurs peuples. Après avoir commis bien des crimes en Afrique, (traites négrières, guerres coloniales, crimes néocoloniaux, alimentation des guerres frontalières, tribales et civiles, déversement d’aliments empoisonnés, de faux médicaments, de vaccins meurtriers et de virus de laboratoires…), avec au bout, des résultats mitigés, ceux que l’augmentation de la population africaine insupporte, viennent de mettre en route une autre machine à la broyer:  le fameux coronavirus, et surtout le vaccin (un de plus) soit disant contre la Covid-19 qui se profile à l’horizon.

Coronavirus l’épouvantail

Seulement voilà ! L’hécatombe qu’ils avaient ‘’craint’’ pour l’Afrique n’est pas arrivée, et puis, dans une sorte d’instinct de survie, les populations se sont mises à fabriquer des boucliers sanitaires et thérapeutiques, que ces ennemis de l’Afrique n’ont d’ailleurs pas hésité à vilipender, exactement de la même manière que les travaux du Pr Didier Raoult, qui fait pourtant la démonstration sur le terrain, au quotidien, que « le coronavirus est l’une des affections les plus facile à soigner ». Ce sont  ses mots. Ceux que la démographie africaine sans cesse croissante énerve, sont donc loin, très loin de leurs nombreux objectifs. Parce que l’épouvantail ‘’ coronavirus’’ n’a pas créé au monde, et surtout en Afrique, des frayeurs susceptibles de faire accepter aux populations le principe d’un vaccin obligatoire. Mais les ennemis de l’Afrique n’entendent pas encore lâcher l’affaire. Selon certains chercheurs, l’épidémie est en train d’être maitrisée. Mais l’occident continue d’entretenir la psychose, en faisant croire qu’elle s’éternise, que les contaminations augmentent. Pour forcer les choses – et sous le prétexte des risques d’une probable deuxième vague, on généralise le principe d’un port de masque obligatoire qui pourrait même rendre malades ceux qui ne le sont pas.

La solution

La vraie question aujourd’hui c’est comment l’Afrique doit-elle procéder pour se sortir de cette nasse ? La réponse est simple : En fabriquant elle-même ses protections sanitaires et thérapeutiques, préventives et curatives, en les privilégiant, sans forcément attendre leur homologation par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), en produisant elle-même ce qu’elle consomme ou veut consommer. Elle cesserait ainsi d’être le terrain privilégié d’aliments importés, empoisonnés pour la plupart, bref, de manière générale, la vraie solution est que les Africains prennent conscience, qu’ils ont tout chez eux pour pouvoir se développer, pour créer leur propre monnaie, pour réécrire eux-mêmes leur vraie histoire et l’enseigner à leurs enfants, pour nourrir et soigner toutes leurs populations. Qu’ils prennent conscience qu’ils en sont capables, et qu’ils se mettent au travail. Parce que le gros problème, c’est que les Africains ont été conditionnés à penser qu’ils sont des incapables majeurs, qui ont éternellement besoin de la tutelle protectrice et bienfaitrice des autres, qu’ils y ont cru. Et forcément, cela n’est pas allé sans conséquences terribles.

Alain Bengono

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