vendredi 18 juillet 2025
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Washington accueille le face-à-face Congo-Rwanda.

Afrikinternews, vous propose un regard satirique sur des négociations aussi tendues qu’une corde de raphia sous un pont de Goma. Nos experts congolais et rwandais, sont réunis cette semaine à Washington pour tenter de résoudre un conflit qui dure depuis plus longtemps que les sapeurs n’ont de costumes. Sous l’œil bienveillant (ou impatient ?) des Américains. Les deux délégations pianotent sur un draft aussi mystérieux que le dernier album de Fally Ipupa.  

 

Un dialogue de sourds… mais avec des écouteurs de traduction  

D’un côté, Kinshasa brandit des dossiers aussi épais que la collection complète des Maboke de Papa Wemba. De l’autre, Kigali répond avec une précision suisse… ou presque. Les discussions avancent, reculent, tournent en rond comme un taxi-bus dans l’heure de pointe à Matonge, un des quartiers chauds de Kin la belle. Pendant ce temps, le draft américain trône au centre de la table, tel un parent qui surveille une dispute entre frères : « Allez, on se calme, on parle gentiment, et surtout… on ne touche pas aux minerais ! »

Washington, terre de compromis (ou de compromission ?)  

Les États-Unis jouent les médiateurs, mais certains se demandent s’ils ne sont pas en train de rédiger un scénario hollywoodien : « Duel à l’Est : Le Retour de la Paix (ou pas) ». Entre deux réunions, les diplomates sirotent leur café en se demandant si ce conflit sera résolu avant la prochaine saison de Nollywood.

Et si la solution venait… d’un même ?

Parfois, il faut savoir rire pour ne pas pleurer. Et si, au lieu de s’écharper sur les réseaux sociaux, les deux camps s’envoyaient les mêmes pour désamorcer la tension ? « Un GIF vaut mieux qu’un missile », disait un sage (probablement après un bon mojito).

En attendant, prions pour que ces négociations aboutissent à autre chose qu’un « on en reparle à la prochaine crise ». Parce qu’à l’Est, la population en a assez d’être le punching-ball géopolitique de la région.

Alors  que le draft soit avec eux… et surtout, avec nous.

 

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