Foot, Coupe du monde des clubs : Le PSG face au destin (et à un sacré casting !)
Le verdict est tombé, mesdames et messieurs ! Après une nuit de folie jeudi, le premier tour de la Coupe du monde des clubs a rendu son verdict, et le tableau final pour la gloire (ou les larmes) est connu. Le PSG sait enfin quel chemin de cailloux (et de stars) l’attend jusqu’à la finale !
Le casting des 16 rescapés ? Un vrai méli-mélo planétaire :
L’Europe en force (mais pas trop) :9 représentants, mais trois gros noms (Porto, l’Atlético et le pauvre Salzbourg) ont déjà pris la porte, dégommés par… Al-Hilal ! Oui, les Saoudiens sont passés par là. Ça calme.
Le Brésil en délégation : 4 clubs, parce que pourquoi faire simple ?
L’Amérique du Nord en duo :2 équipes pour représenter un continent.
L’Asie en solitaire : 1 représentant. La pression !
Et maintenant, place au spectacle ! Les huitièmes débutent samedi avec un clash brésilien digne d’un soap opera : Palmeiras vs Botafogo. Pop-corn conseillé. Mais trêve de suspens, vous voulez savoir pour le PSG ? Allez, accrochez-vous à votre écharpe, le parcours est… épique :
- Le match « débarquement à Miami » (Huitième) : Oui, c’est Inter Miami en premier. Messi ou pas Messi ? Peu importe, c’est l’occasion de faire un selfie avec le soleil de Floride avant les choses sérieuses. À ne surtout pas rater, sous peine de rentrer à Paris plus vite qu’un charter low-cost annulé.
- Si tout va bien, direction les « quarts de l’enfer bavarois » : Là, ça se corse sévère. Bayern Munich pointe son museau. Les Allemands, spécialistes de la saucisse et du pressing étouffant. Un test grandeur nature pour voir si le milieu parisien a pris ses vitamines. Préparez les valises d’aspirine pour les supporters.
- Et si le PSG survit à Munich ? Bienvenue en… « demi-finale du destin tragique » : Parce que bien sûr, le Real Madrid attendrait au tournant. Bien sûr, l’équipe qui a le don de transformer les rêves parisiens en cauchemars européens. Kroos, Vinicius, Bellingham… et leur collection de Coupes. Le choc ultime, le remake que personne ne voulait (sauf les Madrilènes) avant même la finale ! C’est presque une tradition, non ?
En résumé
- Petit bain à Miami (mais gare aux requins… de foot).
- Baptême du feu bavarois (prévoir un extincteur).
- Rendez-vous avec le karma madrilène (prévoir un psy et un stock de mouchoirs).
C’est beau le football, non ? Un parcours digne d’un héros de conte de fées… ou d’une tragédie grecque. Allez Paris, il va falloir sortir la grande artillerie et un peu de magie ! La route vers la finale est pavée de géants. À vos télévisions, ça promet d’être savoureux (et probablement très stressant) !